Studio Journal ⎪ alain rouschmeyer's Blog
Thoughts, new works and behind-the-scenes notes from the studio
Art for everyone? No, thank you.
We often hear this phrase: “Art for everyone.”
It sounds full of good intentions. Generous, democratic, open.
And yet, every time I hear it, it makes me uncomfortable.
Because beneath this apparent benevolence, I sense an injunction. A reduction. A betrayal.
No one ever says “A Ferrari for everyone,” or “A vintage wine for everyone.”
So why should art be made universally accessible, at the risk of losing its complexity, its depth, its demands?
Monetary Art in Mise en Abyme: Judgment of the Rats
Découvrez un chef-d'œuvre captivant qui vous plonge au cœur d'une dystopie monétaire inquiétante. Dans “La cour des rats”, l'artiste défie les limites de la réalité en créant une scène fascinante où une cour de rats examine avec discernement une œuvre d'art elle-même en mise en abîme. Cette toile 100 x 100 révèle les profondeurs de notre monde financier, exposant les travers et les paradoxes de notre société consumée par l'argent.
The Girl at Daybreak
Il est des gestes si simples qu’on en oublie la poésie.
Il est des matins où le corps, à peine éveillé, cherche à renouer avec lui-même.
Et il est des instants qui, sous l’œil du peintre, deviennent des mondes.
C’est dans cette tension fragile entre le banal et l’essentiel que s’inscrit La fille au lever du jour, une œuvre peinte à l’acrylique sur toile (100 x 100), réalisée en 2024.
Camille Rouschmeyer, my Impressionist muse
In almost every one of my paintings, there is a gentle imprint —
a subtle vibration, a familiar curve, a light that doesn’t entirely belong to me.
Her name is Camille.
Camille is my partner, my agent, my mirror — and my muse.
Not in some mythical or distant sense. No.
Camille is here, close, every single day.
She is the gaze that questions with me, the breath that moves through my silences, the voice that tells me:
“It’s almost there. Keep going.”